En discutant avec José Bachmann, vous remarquez vite qu’il fait son travail avec beaucoup d’enthousiasme et de plaisir. En tant que chef d’équipe dans le secteur Consumer Services, il est responsable du suivi opérationnel des points de vente et des partenaires de distribution. Il veille aussi au bon déroulement des grandes manifestations et des événements spéciaux dans les salles qui les accueillent. Il est ainsi régulièrement présent à la caisse du Hallenstadion – ou récemment à la Laver Cup à Genève, où il a vécu quelques moments privilégiés.
Gérer la liste des invités, réimprimer les billets, procéder aux changements de places, etc. etc. En collaboration avec une équipe de sept personnes issues de différents secteurs, José Bachmann a été pendant cinq jours la personne de contact à la Laver Cup à Palexpo pour toutes les questions relatives à la billetterie. Grâce à une excellente préparation et un formidable esprit d’équipe, la manifestation a été un succès. L’ambiance dans le public vivant cet événement était extraordinaire, comme il le décrit. Il évoque un souvenir particulier, celui d’une situation qui illustre bien les défis et les joies de son travail quotidien :
Un visiteur avait apparemment acheté des billets qu’il souhaitait offrir en cadeau à sa femme la nuit précédant son anniversaire de mariage. La joie aurait dû être grande – la déception l’a malheureusement été tout autant, lorsqu’il s’est avéré le jour J que les billets en question n’étaient pas valables. Il les avait achetés sur une plate-forme de revente malhonnête et avait été trompé, comme il l’a raconté à José Bachmann. Celui-ci dut d’abord lui expliquer qu’il avait eu à faire à un marché secondaire sans aucun lien avec Ticketcorner. « Nous représentons à tout moment Ticketcorner – nous devons en informer les clients et clientes avec délicatesse », comme le souligne José Bachmann. Il a dû faire preuve de beaucoup de compréhension et de patience et, dans ce cas précis, tout s’est heureusement bien terminé, puisqu’une solution a pu être trouvée en collaboration avec l’organisateur. Le grand jour a été sauvé. En remerciement pour son engagement indéfectible, José Bachmann a été récompensé par les larmes de joie du couple. Cette réaction, comme d’autres réactions de clients, le réjouissent profondément. « Nous n’avions jamais autant été étreints qu’à la Laver Cup », révèle-t-il fièrement, et il poursuit : « Cela valait vraiment la peine de rester aussi longtemps sur place. »
De l’opéra de Genève à Ticketcorner
À propos de mariage, une autre chose qu’il n’a jamais oubliée revient à l’esprit de José Bachmann : la date exacte de son tout premier jour de travail chez Ticketcorner. Il commença à y travailler dix ans exactement avant la date de son mariage, le 13 février 2006. Depuis lors, il est toujours venu de bon cœur au bureau. D’une part, parce que chaque jour est différent, et d’autre part, parce qu’il est heureux de pouvoir transmettre sa passion.
José Bachmann adore la musique classique depuis l’âge de douze ans. C’est pourquoi après sa formation dans une banque, il a rapidement trouvé un poste d’assistant réalisateur à l’opéra de Genève. Il a ensuite été responsable des figurants et caissier au théâtre de Zurich, avant de rejoindre le théâtre du casino de Winterthour. Depuis 13 ans, il apporte désormais son enthousiasme à Ticketcorner. Pour lui, le rôle d’assistant auprès des clients et clientes ne se limite pas à une simple mission d’information au sujet d’un événement. « Je connais parfaitement la plupart des opéras et je sais où il faut se placer pour bien voir et où l’acoustique est la meilleure. C’est pourquoi je peux aussi conseiller les spectateurs quant au choix de leur place. J’aimerais que chacun puisse profiter de la meilleure expérience possible. »
Il est devenu l’interlocuteur principal pour de nombreux points de vente. Une autre preuve de l’engagement avec lequel il exerce son activité. Lorsque cet homme de 55 ans, originaire de Baar, ne travaille pas pour Ticketcorner, vous pouvez naturellement le croiser à des concerts classiques et à l’opéra. Ou encore en Alsace, où vit sa mère, et où il consacre beaucoup de temps à sa seconde passion : manger – ou plutôt « se régaler », comme il le précise en riant.